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en très longue vie. A Paris, ce XXVIe juin 1572
il y a quelques jours pour continuer leur dessein
chose de nouveau, sur quoy ie n’ay peu apprendre autre, sinon que le bruict est
la fin de ce moys de jullet. Je me plaignis à mondit sieur
bien sceu comprendre et la vous escrirois. Monsieur d’Hourche
travaille beaucoup et est-on sur la resolution si le roy
qui parle de partir bien tost.
les préparatifz du siège. Les commissaires des vivres,
mauvaise letre et me tenés s’il vous plait
P. Demurs
vous me trouverés
faict servisse quelconques au roy ; aussy
fin ; après avoyr salué vous bonnes
monsegneur, ie prie Dieu qui vous conserve en bonne
au meuble dudit Terrasse, je ley
heurtes et à toutes heures.
les receveurs generaulx des decimes ont escrit à leurs commis à
Ils mescuseront et recepvront mes humbles recommandations
peusse mestre
très humbles recomandations à vous bones graces, vois
à signer contenant le pouvoir que vous avez donné à monsieur d’Embrun
Vostre très humble très hobeyssant filz et
de Beuvois La Nocle, a esté mandé icy et bien que ne
vostre humble serviteur
ausquelz l’on dit que le Turc s’oppoze par une si
que le cardinal d’Altehens, natif d’Allemaigne, a esté empoizonné à Rome
de Villeroy du retranchement de votre estat
pourra estre devers vous plustost que la presente. On tient que
patientera encor ou si il y envoyera armée pour l’assieger.
don le général Chatellier est l’ung, partent ceste
en vos bonnes grâces, ausquelles
à votre commandement
y a il plusieurs eclesiasticques quy ont
graces par nous humbles recommandations,
et heureuse vie. De Montrichard, ce dernier
tout monstré audit Perra qui le monstera
Monseigneur, j’ay reservé à la fin comme vous à me condoloir du decès de madame
Lion ne molester les diocèzes pour les restes de ce quilz doybvent,
à leurs bonnes graces et ma niepce, madamoiselle
oblié en aucu
prier vous doner,
dordonner des deniers. Il vous plaira la me renvoyer. Il ma semblé
serviteur à jamays Hourche
laie veu, une infinité de mes amis mhount assuré luy
[marge gauche : Le capitaine Spilly a faict toutte la diligence
grand armée et de mer et de terre, cavalerye et
et est décédé. Il estoit grand amy et famillier du pappe, lequel aiant oppinion
à II m[illes] livres pour an. Il me dict que la loy en estoit
il y a des Anglois descendus en Flandres pour le prince d’Orenge
Vous aurez sceu comment du XXIe du passé Mons a esté
sepmaine à cest effect. On pense qu’en passant on
très humblement me recommande et prie Dieu vous
d’aussi bon cueur
plusieurs beneffices possedantz grandz
en priant le Créateur,
d’aoust 1571
à madame Marie y estant, de
votre mère, non pas pour son regard, s’en estant allée hors de ce monde plaine
et de ce jourduy, le roy a accordé les rabays et dechargement
d’Hourches ausy. Le filz de madamoiselle de Charpey
ne chose de respect en
monsieur, en sainté contante vie. De St Germein,
monseigneur, debvoir demander quelque taxe des peynes par moy
avoir demandé nouvelles de mon dit nepveu, lequieul
et aspre solicitation qu’il a peu.]
enfanterye qui est presque incroyable. Je prie Notre
d’estre luy mesme empoizonné a prins de contrepoizon et est encores malade.
générale pour touttes les provinces, tant où il n’y a
et que Chomberg et Bassompierre sont allé lever des reystres
rendu au duc d’Albe. Les Francois ont esté conduitz en la
donnera à Sancerre, où quelques companies
donner
je me recommande
heritaiges et ont des grandz moyens
Monsieur, en parfaicte senté, vous donner
votre très humble et obeissant
sorte quil nest besoing que je y alle.
dans, d’heur et d’honneur aultant ce me semble que dame que j’aye jamais cogneue
de la somme de X mil livres qui seront deduites aux beneffices
est ici avec monsegneur de Lorreine, qui se porte très bien,
votre endroyt ;
ce X febvrier 1574.
prinses à la recepte des deniers destinez pour ladite guerre que ma occupé,
Dieu merci, se pourtoit très bien. Monsieur de St Supplice
Seigneur vouloir avoyr pitié de ses povres chrestiens.
Il y a quelques cardinaulx prisonniers. L’on n’a auculne lettre de Rome
poinct d’assemblée d’estatz – où les lieutenantz généraulx
aux gaiges de la royne d’Angleterre. Il est à presumer que ce
frontiere de Picardie, où le marquis de Rotelin en a mis un grand
marchent déjà. Je présente pour la fin mes très humbles
monsieur en santé, heureuse et longue vie.
à votre bonne grace et
de servir aux presentes necessités.
longue heureuse et contente vie. De Saint
serviteur
Touteffoys, je jerrey toutes choses
et y ayant si bien et si sainctement vescu que nous ne pouvons doubter quelle ne soyt
don les biens se trovent occuppés et ruynés dans le Daulphiné,
ausy est le cappitaine Moncha, venu avec le dit segneur hors
et quant à ce
La plus part de ceulx qui estoint venus ici des provinces sont
ou mes gens, trois fois plus que na faict ma recepte ordinaire ;
est allé à La Rochelle, Poictou et Guiene pour
On m’a mandé de Marseilhe et d’Avignon aussi que
ains de Florence, qui faict que l’on ne tient la chose pour asseurée.
puissent avoir quelque don hors l’estat du roy – que
n’est sans la volonté du roy. Je vous pourray envoyer
nombre en pieces et bien escarté le reste. Je prie Dieu,
recommandations à votre bonne grâce et de celle de monsieur
De Paris, ce XXIIIIe décembre 1572.
prie Dieu cappitaine Lorian etc.
Item, il y a plusieurs petites villes et
André, ce XVIIIme decembre 1573.
Chastelard
sil est de besoing que ainsi vous
là où nous devons tous desyrer d’estre. Mais je plains l’ennuy que vous,
de quoy je lèveray les provisions necessayres ; et pour le surplus
de tous affaires, mais à la poursuite de la delivrance
que par votre lettre
partis sans avoir heu leurs voiages, mais que jaie votre
et pour ce faire, je vous en presente requeste que je vous envoye sur
assurer le monde de faire entendre que le roy
les Anglois ont desfait accompagnés de quelques
Ceulx qui se meslent de discourir sur l’advènement des choses allèguent
pour les autres. Je me obstinois en solicitations pour votre
ung billet des novelles de Flandres. Il est bruict de quelque querelle
Monsieur, vous donner très longue et heureuse vie. De Paris, ce
de La Roche, priant Dieu,
Vostre à jamais très humble et
bourgades en ce païs où il y a des
Votres bons et humbles serviteurs,
Jay gaigné à Paris mon procès devant les maîtres des
le me faictes sentir pour le moindre de
monseigneur et tous messieurs vos frères en receuvrés n’ayant jamais veu enfans
de leurs articles, jestime quil sy fera reglement general
de son lieutenent et de faire remetre sa compagnie.
dites votre race
mandement en mein, je parleray du mien, mais non à
laquelle, sil ne vous plaict maccorder la somme que vous penserez
ne scavoit rien de lentreprise que lons dit avoir
aultres ont deffait ung grand secours qui venoit
sur ce faict qui peult estre provenu, d’aultant que ledit cardinal persuadoit fort
payement des années passées. Je m’en tayray, attendant
entre les Suisses du canton de Chafouze et leurs voisins. J’ay veu ce
IIIe octobre 1572,
Monsegneur, vous donner très longue et très heureuse
très obéissant frère
habitans quy ont des moyens voyre
les consulz de St André
requestes pour loffice de lieutenant particulier de Viennois.
votre maison ou aultre. Jey receu les lettres que
porter plus d’honneur et de reverance à leur père ou mère que vous faisiés
pour tout le royaulme.
Je ne veulx oublier à vous dire que
nestre extraicte de rentiers ni de chasteleins, je ne vous y puis respondre, ne
importunité, car jen suis plus que sur et rebuter pour ce voiage
estre raisonnable, il vous plaira aulmoings me renvoyer aux
esté decouverte dans La Rochelle. Dieu nous douint
au duc d’Albe, tant d’enfanterie espagnoles que
au pape ne se parraliser pour aulcung prince chrestien et que sur ce propos,
scavoir ce que Dieu aura disposé de la vie de monsieur
matin le jeune Les Adretz qui vient de Piedmont sans avoir passer,
Vostre très humble serviteur.
vie. De Paris, ce XIe décembre 1572.
de Simienne
plus grandz que plusieurs quon extime
et par commandement dyceulx,
Monsieur de Sauve me dict que la companie de monsieur
avés escript à monsieur le president Bellièvre,
très tous à celle bone dame, n’y mère qui porta sem[bla]blement plus de charité [que]
[56 v°] du XXVIIIe arriva icy ung soliciteur pour les eclesiastiques de Brianssonnoys,
dimanche dernier le roy aiant esté
sachant loccasion de tel discours. Mays quant vous men escrirés plus,
et par ainsy nespère pas plus que les autres.
commis commissaires depputez à laudition de mon compte pour
la paix qui nous est necessère et à vous
d’argent et n’ayant de quoy vous fère la présante
l’ambassadeur d’Espaigne parlant au pape sur les troubles de Flandres
le président Truchon, et votre volonté àprès ce bien faict
comme il m’a dict, par le Daulphiné.
Chastellard
Votre très humble serviteur
Je ne scay si aurés lettres de monsieur Besson ni de
eysés esdites villes telz personnaiges pouroient
Allamand not[aire]
le prince daulphin ny la votre ne sont ordonnées pour
lesquelles incontinen suyvant les votres, je remis
à vous ; et veux croire comme aussi il est conforme aux promesses de Dieu
et du jourdhuy, jay receu dans une despeche de monsieur de Gordes les
aux toiles, heut après souper quelque
ouvertement, je vous y respondrey plus cleyrement. Bien advouerey je
Sil vous plait escripvant en Provence
my faire droict, sans lequel ranvoy ilz ne vouldroient me taxer,
monsieur, en sainté contante vie, me recomandant
plus longue, je la finiray par mes très humbles
qu’il disoit estre occasion que Don Jehan d’Austria ne voloit partir de Messine
qui est en pur don.
Monsegneur, je prie Dieu qui vous conserve en très longue et
[marge gauche :] Je ne scay pas que je pourray faire à la plus value des ducatz de Brianson. Monseigneur le prince daulphin l’a voulu demander mais il s’en est desisté pour le solagement de ceulx du pays. Telle recherche ne se doibt faire par mon moyen, mais la debvrois plustost empecher. Monsieur de La Roche doibt partir le VIe avec monsieur de Bonevaulx. Monsieur d’Évènes et monsieur de Laval et Gargas se portent bien. Monsieur Le Febvre dict que vous a escrit et envoyé argent. On ne parle plus du voyage de Monsegnieur le prince.
So. de Boczosel
mon nepveu. Son de plus luy et ses compagnons sont,
[180 v°] estre requis ; ses remonstrances en plusieurs
tenir garnison ce quartier, comme sont celles de messieurs
à son logis pour les luy faire tenir. Je ne scay pas
que de ceste pieté est en partie procedé le bon heur de votre maison lequel
memoyres et doleances des habitans dudit Brianssonnoys, de quoy jey
resantiment de fiebvre et despuis autre
tousiours ce que dites de la grandeur de votre meyson et de la valeur de ceulx
donnerés à dire à monsieur de La Roche
actendu quilz ne se dispensent daulcune taxe pour ce que concerne
tousiors très humblement à vous bones graces. De St Germein, ce